j’ai longtemps cherché des informations sur le streetwear, beaucoup de sites regorgent d’informations sur le sujet mais souvent manquent de précisions et de travail sur la chronologie des événements.
De l’utilisation des t-shirts de surf pour soutenir les artisans shaper du coin jusqu’au groupe de hip hop, le streetwear porte bien son nom et touche une large partie de la population et chacun de nous dans notre quotidien.
Assez colorés les vêtements des surfeurs ont encore un côté 60, c’est alors que débarque la marque stussy avec un logo signature, les t-shirts ont des coloris plus sobres portables à la plage comme en club le soir, l’idée est toujours de soutenir des artisans locaux mais avec une touche punk.
Quittons la Californie pour les ghetto de New York, le bronx où émerge un nouveau style supporté par les breakdancers locaux, ici c’est également le streetwear, ils arborent les badges des voitures afin de montrer qu’ils sont les durs du quartier, plus la voiture est cher plus le badge est recherché, comme mercedes ou bmw.
Elément clé du style, les sneakers, là cela commence par la mise en avant de la marque adidas par le groupe run dmc avec les superstar, la marque comprend la puissance du groupe en leur offrant le plus gros contrat de l’époque, 1 million de dollars. On retourne les ourlets des pantalons afin de mettre l’accent sur les chaussures.
En 1984 la collaboration entre Nike et Michael Jordan fait avancer plus loin la place des chaussures dans le streetwear en initiant l’apparition des collection streetwear à destination d’une clientèle fan de basketball et à l’effigie de la star du terrain.
Autre référence du streetwear la casquette Kangol, porté par de nombreuses pointures du hip hop, jazz et blues des années 80 comme le rappeur LL cool J et son bob en feutre rouge.
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